Venu des catacombes grecques de l’Europe, un murmure traverse le continent dévasté : « Ne vivons plus comme des esclaves » (prononcer « Na mi zisoumé san douli » en grec). Sur les murs des villes et sur les rochers des campagnes, sur les panneaux publicitaires vides ou détournés, dans les journaux alternatifs et sur les radios rebelles, dans les lieux d’occupation et d’autogestion qui se multiplient, tel est le slogan que la résistance grecque diffuse, jour après jour, et nous invite à reprendre en chœur sur les mélodies de ce film à ses côtés. Un grand bol d’air frais, d’enthousiasme et d’utopies en marche, venu de la mer Égée.
Comment l’Allemagne hitlérienne a-t-elle pu avec peu de devises, un chômage de masse, d’insuffisantes ressources naturelles et un appareil industriel limité déclencher ce cataclysme que fut la Seconde Guerre mondiale et occuper une grande partie du territoire européen ? Étayé par des travaux récents d’historiens et nourri d’archives rares, un passionnant décryptage.
L'idée d'un revenu de revenu de base inconditionnel divise plus que jamais dans les débats politiques, économiques et philosophiques. Pourquoi l'instaurer? Ira-t-on encore travailler quand nous n'aurons plus à nous préoccuper de "gagner" notre vie ? Qu'adviendra-t-il lorsque les machines et les robots nous remplacerons? Jour de Paye ! retrace la genèse de ce concept utopique et part à la recherche des possibilités et des expériences vécues concernant sa mise en place. A l'heure où 13 départements français s'apprêtent à faire l'expérimentation du revenu de base, c'est l'occasion de rassembler les citoyens pour réfléchir ensemble à la question.
Ce film tente de cerner les causes principales d'une supposée corruption sociale envahissante, et d'offrir une solution. Cette dite solution n’est pas basée sur la politique, la moralité, les lois, ni aucune autre constitution, mais plutôt sur une compréhension moderne et non-superstitieuse de ce que l’on est et de notre lien à la nature auquel nous appartenons. Cette œuvre préconise un nouveau système social adapté à la connaissance moderne, notamment influencé par le travail de Jacque Fresco et du Venus Project. À la fin, le film invite à rejoindre une organisation internationale qui plaide pour la construction d'un monde durable : « le Mouvement Zeitgeist ». Le film est disponible sur Internet gratuitement et propose un système alternatif à la société actuelle fondé sur un Modèle Économique Basé sur les Ressources.
En janvier 2018, l’aciérie Ascoval, à Saint-Saulve, dans le nord de la France, est placée en redressement judiciaire. Le réalisateur Eric Guéret a suivi les salariés qui ont décidé de se battre pour empêcher la fermeture de leur usine. Durant ces mois de sacrifices, de doutes et d’espoir, la caméra accompagne la direction et le personnel dans une course contre la montre pour tenter de trouver un repreneur.
Le titre Zeitgeist est une expression allemande qui veut dire « esprit du temps », en faisant allusion à l'expérience du climat culturel dominant. Le site web officiel déclare que Zeitgeist, The Movie et sa suite Zeitgeist : Addendum ont été créés sans but lucratif pour communiquer les conclusions des auteurs. Peter Joseph utilise des appuis historiques et modernes afin de montrer que ces conclusions sont censurées par les institutions sociales actuelles dominantes. Le film se veut une déconstruction méthodique de trois grands événements ou mythes qui présideraient au fonctionnement des sociétés occidentales
Eugénie, jeune comédienne, a décidé de relever un défi inédit : vivre uniquement grâce à l’économie de partage. Pendant 3 mois, sans revenu et seulement avec ce qu’elle possède et ce qu’elle a à offrir, elle va devoir travailler, penser, manger, se déplacer, se divertir en mode collaboratif. Cette immersion est l’occasion pour elle de partir à la découverte du monde et des acteurs qui gravitent autour de l’économie collaborative. Entre troc et partage, bobos et marginaux, tradition et ubérisation, Eugénie peint un portrait de ce qui sera peut-être l’économie de demain.