Le Grand Prix de Formule 1 de Monaco est une étape mythique du championnat. Depuis sa première édition, en 1929, il a acquis une dimension de course de légende, renforcée par les exploits et les drames qui s'y sont déroulés. Circuit urbain, exigu, tracé pour les pilote, il se court sous les balcons, le long du port, dans le tunnel. Pendant quelques semaines, la tranquille principauté de Monaco se transforme en paddock géant, entièrement vouée à la course automobile. Alain Prost, Charles Leclerc, Flavio Briatore ou encore le Prince Albert racontent ce qu'est le Grand Prix de Monaco vu depuis ses coulisses.
Chaque printemps, la traditionnelle course de moto TT a lieu sur les routes de l’île de Man. Assoiffés de gloire et d’adrénaline, les pilotes de moto intrépides s’y rendent. Mais flirter avec le danger a son prix: plus de deux cents individus ont perdu la vie au cours de ce spectacle. A une allure d’enfer, les participants passent en trombe dans les virages, toujours conscients qu’il s’agit peut-être de leur dernière course. Mais pourquoi les pilotes continuent-ils de s’adonner à cette pratique périlleuse? Ce documentaire palpitant en 3D aborde tant les victoires glorieuses que les horribles tragédies qu’a vécues la course de moto la plus folle du monde.
Continental Circus est un documentaire français de 102 minutes sur les courses de moto réalisé en 1969 et 1970 par Jérôme Laperrousaz. Le film est sorti en 1972 et a reçu le prix Jean-Vigo la même année pour « la qualité de sa réalisation et l'indépendance de son esprit ». « Continental Circus » est le nom que les coureurs donnaient aux Championnats du monde de vitesse moto à cette époque. Il raconte le quotidien d'un pilote de moto privé, l'australien Jack Findlay assisté de sa compagne, Nanou, durant toute la saison 1969 du Continental Circus au guidon tout d'abord d'une 500 Matchless puis d'une Jawa 350 4 cylindres type 673 en remplacement de Bill Ivy, mort aux essais du Grand Prix d'Allemagne de l'Est en juillet 1969. La Jawa 673 est visible dans le film aux mains de Jack Findlay à partir de 1h22m40s à Imola.