Véritable mythe, Carlos est au cœur de l’histoire du terrorisme international des années 1970 et 1980, de l’activisme propalestinien à l’Armée rouge japonaise. A la fois figure de l’extrême gauche et mercenaire opportuniste à la solde des services secrets de puissances du Moyen-Orient, il a constitué sa propre organisation, basée de l’autre côté du rideau de fer, active durant les dernières années de la guerre froide. Le film est l’histoire d’un révolutionnaire internationaliste, manipulateur et manipulé, porté par les flux de l’histoire de son époque et de ses dérives. Nous le suivrons jusqu’au bout de son chemin, relégué au Soudan où la dictature islamiste, après l’avoir un temps couvert, l’a livré à la police française. Personnage contradictoire, aussi violent que l‘époque dont il est une incarnation, Carlos est aussi une énigme.
Il s'agit d'une histoire merveilleuse qui se déroule dans un univers évoquant notre ère à l'époque médiévale : le Roi Dragon écrase toutes les révoltes qui se dressent devant lui afin de mieux asseoir son pouvoir. Or, on lui a prédit qu'il perdrait son trône et son pouvoir à cause d'un Prince Rebelle. Afin d'éviter cela, il se fait des plus cruels. Après une bataille, il trouve un bébé dans une forêt et décide de le ramener au palais pour l’élever avec sa fille aînée, Desideria. Desideria est sans cesse en conflit avec sa sœur adoptive Selvaggia et n'a pour seul confident que son pantin sourire, une petite peluche magique. Un jour, elle tombe amoureuse. C'est alors que les complications commencent vraiment... pour elle, mais également pour le Roi Dragon.