Avec tant de richesses dans le monde, pourquoi y a-t-il encore tant de pauvreté ? S'aventurant au-delà des réponses "populaires" sur les origines de la pauvreté, The End of Poverty ? se demande si les véritables causes ne viennent pas d'une orchestration des pays riches pour exploiter les plus pauvres, de l'époque coloniale à aujourd'hui. Les peuples qui luttent contre la pauvreté répondent, condammant le colonialismes et ses conséquences : appropriation des terres, exploitation des ressources naturelles, dette, néolibéralisme, demande permanente dans lequel 25% de la population mondiale utilise 85% des richesses. Des favelas d'Amérique Latine aux bidonvilles d'Afrique, des économistes de renom, des personnalités politiques et des acteurs sociaux révèlent comment les pays développés pillent la planète ; un saccage qui menace ses capacités à soutenir la vie et accroît toujours plus la pauvreté...

Vingt ans après la rétrocession de Hong Kong à la Chine, la jeune génération, politisée, se dresse face à Pékin pour réclamer le suffrage universel et la démocratie. Ils sont nés aux alentours de 1997, année où le Royaume-Uni a rétrocédé Hong Kong à la Chine. Depuis cette date et jusqu’en 2047, la République populaire s’est engagée à maintenir les systèmes économique et législatif ainsi que le mode de vie propres à l’île, à travers la politique "un pays, deux systèmes", qui s’applique dans la région administrative spéciale de Hong Kong. Dans ce paysage, une génération de jeunes gens politisés se fait connaître et dénonce l’autoritarisme croissant de Pékin, qui se manifeste, par exemple, par le refus d’accorder le suffrage universel aux Hongkongais, le fait que les candidats au pouvoir exécutif doivent être adoubés – autrement dit, choisis – par le parti communiste chinois ou encore la tentative d’imposer des cours "d’éducation patriotique" aux enfants.

Ils ont bâti un mouvement autour du minimalisme. Deux amis, Joshua Fields Millburn et Ryan Nicodemus, nous expliquent comment nos vies peuvent aller mieux avec moins.

Né en 1967, le Méliès, cinéma associatif grenoblois, s’est réinventé avec son agrandissement en 2009. Vincent Sorrel a voulu filmer la reconstruction de cette institution, qui a failli disparaître à cause du manque de soutien de ses tutelles. Les travaux, le public, la programmation, mais aussi le devenir des salles Art & Essai, l’exploitation, la salle de cinéma comme lieu de proximité, d’échanges et de transmission de cinéphilie, ce sont toutes ces questions qu’aborde Le Nouveau monde.