Generalfeldmarschall durant la Seconde Guerre mondiale, Erwin Rommel est un officier supérieur allemand qui a nourri une réelle fascination pour Adolf Hitler. Stratège accompli, il est connu sous le nom de "Renard du désert" obtenu lors de son engagement au sein de la Werhmacht en Afrique du Nord. Il a cependant opéré sur d'autres offensives militaires. Il a participé à l'invasion des Sudètes en 1938. Dès 1940, il est nommé commandant de la 7e Panzerdivision par Hitler. Il intervient durant la campagne de France en mai et juin 1940 et arrive jusqu'à Bordeaux. Il affronte ensuite les troupes britanniques en Libye. Vaincu, il est nommé responsable en 1943 des fortifications du Mur de l'Atlantique.

Deux partisans soviétiques quittent leur bande affamée pour s'approvisionner dans une ferme voisine. Les Allemands ont atteint la ferme en premier, donc le couple doit faire un voyage au plus profond du territoire occupé, un voyage qui les mènera aussi au plus profond de leur âme.

En mai 1943, Ernst Kaltenbrunner, le nouveau chef de l’Office central de la sécurité du Reich, remet à Hitler un rapport qui décrit dans le détail l’organisation de la Résistance française. En effet, pendant la Seconde Guerre mondiale, la plupart des réseaux de la Résistance ont été infiltrés par des traîtres, les « V Man » (hommes de confiance) au service de l’occupant. Les Allemands avaient érigé la trahison en système et le recrutement de Français prêts à les renseigner était alors une de leurs priorités. Ce sont ces Français, dont le nombre est estimé entre 20 000 et 30 000, qui ont porté des coups terribles à la Résistance.

En Pologne, à une soixantaine de kilomètres de Cracovie, se dressent les portes du camp d'Auschwitz, le plus vaste complexe concentrationnaire nazi.

« Une réédition d’un bon vieux film, arrangé, embelli et commenté par Dušan Makavejev » dixit le générique. Les images du premier film parlant yougoslave – film autobiographique réalisé en 1942 sous l’occupation – se télescopent, 36 ans plus tard, avec les propos de Dragoljub Aleksić, personnage truculent, serrurier, acrobate et réalisateur de ce film longtemps perdu, d’une partie de son équipe et des images d’actualité.

Une histoire d'amour, de sang et de violence en pleine insurrection de Varsovie de 1944...

Dans le nazi occupé de la ville de Rome, une attaque partisane contre une brigade de la SS à provoqué les représailles de la governship militaire. "Massacre à Rome" est l'histoire vraie de l'exécution en masse de ressortissants italiens orchestré par le SS-lieutenant-colonel Kappler en guise de représailles.

Pour la première fois, un documentaire nous raconte ainsi l’histoire de l’espionnage belge au service de la victoire des Alliés ; ses techniques, son financement, son organisation. Le succès, même s’il est semé d’échecs et d’immenses difficultés, ne tardera pas à fournir d’impressionnants résultats. La Belgique disposera dès 1941 d’une moyenne de 10.000 agents, sur tout le territoire, capables de métamorphoser un pays, plongé dans les ténèbres, en une "maison de verre" qui n’aura, pour Londres et ce jusqu’à la Libération, plus aucun secret. Raconté par Erwin Grunspan, cette chronique s’appuie sur d’impressionnantes images d’archives totalement méconnues ainsi que sur les témoignages des derniers témoins et acteurs de ces évènements. A la fois film d’espionnage et documentaire géopolitique, il égraine les grandes phases de la reconstruction de la Belgique depuis Londres.