Jonathan Corbett, alias Colorado, fine gâchette et redresseur de torts sans égal a débarrassé le Texas de nombreux malfrats. Sa bravoure légendaire et ses faits d’armes lui valent d’être placé en tête de liste des élections sénatoriales… Mais en apprenant que Cuchillo, un bandit notoire, vient de tuer une fillette de douze ans après l’avoir violée, Colorado se lance dans une nouvelle chasse à l’homme… Sa retraite dorée de politicien attendra…

Aaron, jeune mormon, débarque de son Idaho natal pour prêcher à Los Angeles avec deux autres compagnons. Il n'a encore aucune idée des épreuves qui l'y attendent. Christian, son voisin, un gay volage pensant davantage à combler ses sens qu'à trouver un sens à sa vie, a lancé un pari auprès de ses collègues : dévergonder un de ces jeunes prédicateurs. Mais peu à peu des sentiments naissent entre les deux jeunes hommes... ce qui ne fait que compliquer la situation.

Le jeune éclaireur Breck Coleman conduit un train de chariots sur la dangereuse piste qui mène à l'Oregon. Il tente d'obtenir l'affection de la belle pionnière Ruth Cameron et planifie sa vengeance contre les durs scélérats qui ont assassiné un de ses amis dans le passé.

Des pionniers mormons sont attaqués par des Indiens, mais deux jeunes cavaliers,Travis et Sandy, accourent et les sauvent. Les Mormons louent leurs services comme guides pour la vallée de San Juana, où ils comptent fonder une colonie.

Deux histoires apparemment indépendantes se superposent. La première s'inspire du roman de Norman Mailer, Le Chant du bourreau, fondée sur un fait divers. Gary Gilmore, fils de mormons établis dans l'Utah, a été exécuté après avoir assassiné un jeune pompiste. La seconde histoire met en scène le magicien d'origine hongroise Harry Houdini célèbre pour ses numéros de métamorphose. Le lien entre ces deux histoires serait d'ordre généalogique : Harry Houdini serait en effet le grand-père de Gary Gilmore.

La femme et les enfants d'un mormon sont assassinés. Alors que tout laisse penser que le mobile est religieux, des motifs économiques pourraient bien expliquer ces meurtres.