Poppy découvre que Branche et ses quatre frères faisaient autrefois partie de son boys band préféré. Lorsque l'un de ses frères et sœurs, Floyd, est kidnappé par une paire de méchants infâmes, Branche et Poppy se lancent dans un voyage déchirant et émouvant pour réunir les autres frères et sauver Floyd d'un destin encore pire que l'obscurité de la culture pop.

Un baron tombe amoureux d'une jeune fille mais se trompe de personne lorsqu'il veut la demander en mariage à sa tante.

Dans l'Amérique de la prohibition, Fat Sam, chef de gang et tenancier d'un club clandestin, engage Bugsy Malone, petite frappe et dragueur à ses heures perdues. Ensemble, ils déclarent la guerre à Dan le Dandy et sa bande, détenteurs d'une arme secrète invincible : une mitraillette à crème pâtissière. Tous les coups sont permis pour tenter de voler l'arme à la bande rivale, mais le chemin de Bugsy est semé d'embuches, de femmes fatales et de guet-apens...

Beyond The Sea retrace la vie du crooner américain Bobby Darin. Durant les années 50, il enregistra les chansons My First Love, Dream Lover, Mack The Knife ou encore Queen Of The Hope et Things. Souffrant d’une grave maladie du coeur depuis l’enfance, les médecins lui avaient prédit une espérance de vie de 15 ans. Mais sa mère, Polly, lui insuffle le goût du music-hall, de la musique du chant et la scène, qui se transforme vite en passion. Le talent et son inspiration lui donnent le courage de se battre pour devenir  » plus grand que Sinatra « . Il devient un des crooners les plus célèbres aux Etats-Unis en alignant les hits puis commence une carrière à Hollywood où il rencontre une jeune actrice prometteuse : Sandra Lee. Il décède en 1973 lors d’une opération chirurgicale à coeur ouvert.

Capté les 11 et 12 décembre 2008, il propose 24 titres extraits du répertoire de l'artiste, pour une durée de plus de deux heures. Un plat de résistance consistant donc, et qui débute de manière surprenante par la délicate et intimiste « Samedi soir sur la terre », qui préfigure pourtant du voyage dans lequel Cabrel va emmener son public. Car c'est à une escapade amoureuse que l'artiste convie les spectateurs du Casino de Paris. « Ces chansons, ce sont toutes des chansons d'amour », dit-il a plusieurs reprises durant le concert. Cette délicate intimité, cette proximité avec le public et cette fusion quasi-sensuelle entre l'artiste et ses musiciens charismatiques et talentueux offre à l'ensemble une ambiance envoûtante et éthérée qui plane sur le concert. Il faut dire l'album Des Roses et des Orties, interprété dans son intégralité ou presque (seules « Des gens formidables » et « Elle m'appartient » ne sont pas jouées)