Cette plongée intimiste dans le concert de Beyoncé à Coachella en 2018 dévoile avec émotion les coulisses d'un concept créatif devenu un véritable mouvement culturel.

Véritable icône de l’histoire britannique, Florence Nightingale (1820-1910) posa les bases du métier d’infirmière moderne. Un bel hommage à une pionnière dont l’intégrité, l'altruisme et le zèle forcent l’admiration.

C'est l'homme qui a inventé le rock’n’roll. Consacré à l'immense Chuck Berry, disparu en 2017, ce documentaire exceptionnel évoque ses errements de jeunesse, qui lui valent un séjour en prison, ses origines, mais surtout ses chansons mythiques et ses fulgurances musicales révolutionnaires qui influencèrent les grandes stars des années 1960, à commencer par les Beatles et les Rolling Stones.

Il a été réalisé par Sam Dunn (anthropologue) et Scot Mcfadyen en 2005 (sortie en France le 19 juin 2006). Il a pour but d'analyser le milieu du heavy metal d'un point de vue strictement anthropologique.Il se présente sous la forme de différents chapitres retraçant l'apparition de ce genre, ses codes, ses sous-genres, ses modes de vie et même ses dérives (black metal notamment). Le réalisateur essaye également de détruire certains clichés stigmatisant ce milieu tout en restant le plus impartial possible et en faisant intervenir un grand nombre de témoins venus de différents horizons (musiciens ou non).

Enfant du Sud-Ouest, André Téchiné a grandi dans un milieu petit-bourgeois étriqué – qu'il enverra valdinguer dans Souvenirs d'en France, son deuxième film. Sa conscience politique progressiste naît dans un internat strict, proche de celui des Roseaux sauvages. Arrivé à Paris à 20 ans, il rêve de cinéma et de liberté. Son premier long métrage, Paulina s'en va, est un échec mais il intéresse les cinéphiles. De film en film, de l'innovant Baroco au tournage orageux des Sœurs Brontë, de la complicité avec Marie-France Pisier à l'amitié avec Catherine Deneuve, André Téchiné imprime sa marque : l'art de marier le romanesque et les bouleversements sociétaux (les années sida dans Les témoins, les migrants dans Loin…) et de capter les affres d'une jeunesse qui tient une grande place dans son œuvre.

Le film tant attendu du concert de BTS SUGA « SUGA│Agust D TOUR "D-DAY" the MOVIE » fait irruption sur grand écran dans le monde entier ! La dernière, « SUGA | Agust D TOUR 'D-DAY' THE FINAL », a été le point culminant d’une tournée mondiale de 25 concerts, dans 10 villes, qui a rassemblé 290 000 personnes. Vivez l'énergie et l’effervescence du "D-DAY' THE FINAL" sur grand écran : de l’expérience musicale qui voyage entre SUGA, membre du groupe iconique pop du 21 ème siècle BTS, et Agust D, en artiste solo, à ses performances électrisantes et à son énergie explosive en passant par les duos spéciaux avec RM, Jimin et Jung Kook, tous membres du groupe BTS.

Avec la déferlante #MeToo, le féminisme connaît un spectaculaire revival qui se reflète dans tous les champs de la culture pop. Effet de mode ou révolution ? Narrée par Aïssa Maïga, une plongée réjouissante dans ce foisonnant mouvement de masse.

Chanteuse exécrable, mais chanteuse malgré tout : ainsi peut-on résumer le chemin étonnant tracé par cette riche excentrique Américaine passionnée d'opéra, dont la vie rocambolesque a inspiré Stephen Frears (Florence Foster Jenkins, 2016, avec Meryl Streep) et Xavier Giannoli (Marguerite, 2015, avec Catherine Frot). Née en Pennsylvanie en 1868, cette héritière mélomane et mondaine fait d'abord ses débuts au piano avant de se produire sur les scènes new-yorkaises comme soprano. Passionnée d'opéra et animée d'une indéboulonnable confiance en elle-même, elle doit sa renommée à ses nombreuses relations, qui la flatteront toute sa vie, mais aussi et surtout à son extraordinaire inaptitude musicale. En 1944, elle donne au Carnegie Hall, ce temple de l'excellence artistique, un épouvantable concert dont l’enregistrement battra des records de ventes, tant il est peu commun d'entendre ainsi massacrer les plus grands airs du répertoire. ...

C’est l’évocation d’une vie aussi brève que dense. Une rencontre avec une pensée fulgurante, celle de Frantz Fanon, médecin psychiatre, d’origine antillaise, qui va penser l’aliénation du peuple noir. C’est l’évocation d’un homme de réflexion qui refuse de fermer les yeux, de l’homme d’action qui s’est dévoué corps et âme pour la lutte de libération du peuple algérien et qui deviendra par son engagement politique, son combat, et ses écrits, l’une des figures de la lutte anticolonialiste. Avant d’être emporté à l’age de 36 ans par une leucémie, le 6 décembre 1961. Son corps sera inhumé par Chadli Bendjedid, qui deviendra plus tard président algérien, en Algérie, au cimetière des Chouhadas (cimetière des martyrs de la guerre). Avec lui, sont inhumés trois de ses ouvrages : "Peau Noire, Masques Blancs", "L'An V De La Révolution Algérienne" et "Les Damnés de la Terre".