Ce concert récemment remasterisé présente une version étendue de ce que les fans ont vu et entendu il y a plus d'un quart de siècle. Il comprend 7 chansons inédites du Live From Leningrad original, y compris une performance bonus de "Pressure".

Ce film raconte l'histoire de Aaron Swartz, programmeur de génie et activiste de l'information. Depuis l'aide qu'il a apporté au développement de RSS, l'un des protocoles à la base d'Internet, à la co-fondation de Reddit, son empreinte est partout sur Internet. Mais c'est le travail révolutionnaire de Swartz autour des questions de justice sociale et d'organisation politique, combiné à son approche sans concession de l'accès à l'information pour tous, qui l'a pris au piège dans un cauchemar légal de deux années. Cette bataille s'est terminée par son suicide à 26 ans. L'histoire d'Aaron touche une corde sensible chez des personnes même éloignées des communautés online parmi lesquelles il était une célébrité. Ce film est une histoire personnelle à propos de ce que nous perdons lorsque nous restons sourds à la technologie et à ses relations à nos libertés civiles.

Si, en France, Takeshi Kitano apparaît comme un cinéaste brillant et multirécompensé, adepte d’une noirceur stylisée, on connaît moins son double comique, Beat Takeshi, célèbre au Japon pour son humour corrosif et ses tenues délirantes. Deux visages d’une même révolte, issue d'une enfance à la dure. Une virée alerte dans le pan déjanté de la culture japonaise, sur les traces d’un artiste caméléon, qui a accordé au réalisateur un rare et passionnant entretien.

Dans les années 1970, Dock Ellis a lancé un défi au LSD et son franc-parler a suscité des conflits et des controverses, mais ses dernières années ont été consacrées à aider d'autres personnes à se remettre de leur dépendance. Non Non : A Dockumentary tisse l'histoire surprenante et émouvante d'une vie sous et hors des feux de la rampe.

Récit de la vie et de l'œuvre du cinéaste français Claude Chabrol (1930-2010), bouddha sybarite, anarchiste furtif, insolent amoureux de la vie.

Pierre Clément, fut l'élève de René Vautier et son caméraman, il l’accompagnera d’abord en Tunisie pour réaliser un film sur l’indépendance du pays en 1957. Le destin l’a mené en Algérie et sa présence en février 1958 à la frontière tuniso-algérienne change sa vie à jamais. Il porte sa caméra et filme les bombardements de Sakiet Sidi Youcef avant de s’engager corps et âme pour la cause algérienne. Il réalise un peu plus tard « Les réfugiés algériens » avant de se faire arrêter, torturé et emprisonné alors que son troisième film « L’armée de libération nationale au maquis » n’avait pas été achevé. Abdennour Zahzah, le réalisateur fait revivre la mémoire de Pierre Clément, réalisateur engagé au péril de sa vie, frère d'arme des résistants algériens, disparu en 2007.