1770. Marianne est peintre et doit réaliser le portrait de mariage d’Héloïse, une jeune femme qui vient de quitter le couvent. Héloïse résiste à son destin d’épouse en refusant de poser. Marianne va devoir la peindre en secret. Introduite auprès d’elle en tant que dame de compagnie, elle la regarde.
Des hommes et des femmes, nés dans l'entre-deux-guerres. Ils n'ont aucun point commun sinon d'être homosexuels et d'avoir choisi de le vivre au grand jour, à une époque où la société les rejetait. Ils ont aimé, lutté, désiré, fait l'amour. Aujourd'hui, ils racontent ce que fut cette vie insoumise, partagée entre la volonté de rester des gens comme les autres et l'obligation de s'inventer une liberté pour s'épanouir. Ils n'ont eu peur de rien...
Jasmine profite de la courte absence de son fiancé, Rile, pour sortir en discothèque et voir ses amies. Elle y rencontre la charmante Dallas, une travailleuse de la construction, experte en toiture. Le sentiment amoureux qui naît de leur attirance mutuelle bouleverse l'existence des deux jeunes femmes.
Hazuki se coupe les ongles à chaque fois qu'il pleut. Elle se caresse alors avec ces doigts. Hazuki, désormais rédactrice en chef d'une maison d'édition, est attiré par Shiori, la responsable de la planification.
Travaillant dans un hôpital psychiatrique, Emanuelle découvre un étrange signe tribal tatoué sur le ventre d'une jeune fille. Cette dernière pourrait bien avoir été en contact avec une tribu de mangeurs d'hommes, pourtant supposés disparus de la région. Intriguée, Emanuelle décide de se rendre dans la forêt amazonienne pour y percer le mystère. Elle va y découvrir que les cannibales sévissent toujours, avides de chair fraîche et de boyaux fumants...