Dans les plaines du Serengeti en Tanzanie, les félins sont les rois. La savane est leur domaine et la nourriture abonde. Mais quand les adultes partent à la chasse, les petits sont en danger. Félins nous raconte l'histoire émouvante et captivante d'un groupe de lions, d'un léopard solitaire et d'un couple de guépards prêts à tout pour protéger leur famille.
Documentaire sur l'art africain, pamphlet anticolonialiste et première collaboration entre Alain Resnais et Chris Marker. Le film fut censuré pendant onze ans.
À la découverte des peuples autochtones africains, leurs traditions, leurs mœurs, leurs modes de vie. Ces héros ont pour noms : les Bochimans, les Pygmées, les Berbères nomades, les Surmas, les Hamers, les Himbas, les Yorubas, les Dogons… Tous vivent hors du temps et de l’occidentalisation. Tous préservent les coutumes de leurs ancêtres, croient en leurs propres dieux et protègent leur univers de la mondialisation.
Un documentaire qui raconte la vie du leader sud-africain Nelson Mandela. Mandela est probablement mieux connu pour ses 27 ans d'emprisonnement, et pour mettre fin à l'apartheid. Mais ce film met aussi en lumière le première période méconnue de la vie de Mandela
Au coeur des monts des Aurès, un des maquis de la révolution algérienne, les villageois témoignent de la dureté des premiers combats et de leur exil. Alger, entourée par les bidonvilles et constituée de quartiers pauvres et riches, continue à vivre malgré les actes terroristes de l’OAS, qui ont paralysés son économie, et l’émigration de nombreux Algériens vers la France. Devant le lourd bilan de la guerre, la priorité est à la reconstruction du pays. Les premiers efforts sont mis sur l’éducation et l’agriculture. Dans la plaine de la Mitidja, le regroupement des paysans et des ouvriers agricoles en comités de gestion a posé les bases de la réforme agraire qui permettra la relance de la production agricole et la reconstruction des villages.En visite, des ministres viennent promettre aux paysans la prospérité et la justice... Le film fut interdit en France et en Algérie mais obtint le Grand prix du festival international de Leipzig en 1965.
Le Service de diffusion cinématographique (SDC) du Gouvernement général de l’Algérie (GGA, puis Délégation du gouvernement en Algérie), créé en 1943 mais actif seulement à partir de 1945, sert à montrer les films produits par la France sur l’Algérie coloniale dans les campagnes (et plus rarement dans les villes) algériennes à l’aide de « cinébus » dont le nombre va aller croissant jusqu’à la fin de la guerre d’Algérie. Organisé à la manière des propaganda kompagnie allemandes et de leurs homologues américaines de la Psychological Warfare Branch durant la Seconde Guerre mondiale, composé en grande partie de fonctionnaires d’origine « européenne », le SDC est résolument pensé comme un outil d’action psychologique, employé en temps de paix comme en temps de guerre auprès des populations rurales afin d’orienter leur perception de la puissance coloniale. À la grandeur filmique de l’action française s’opposait sèchement la réalité d’une population exploitée.