Ambassadrices du progrès technique, les voitures de F1 ont repoussé leurs limites pour devenir des concentrés de technologie de précision, aussi sophistiqués qu'un avion de chasse.

Chaque printemps, la traditionnelle course de moto TT a lieu sur les routes de l’île de Man. Assoiffés de gloire et d’adrénaline, les pilotes de moto intrépides s’y rendent. Mais flirter avec le danger a son prix: plus de deux cents individus ont perdu la vie au cours de ce spectacle. A une allure d’enfer, les participants passent en trombe dans les virages, toujours conscients qu’il s’agit peut-être de leur dernière course. Mais pourquoi les pilotes continuent-ils de s’adonner à cette pratique périlleuse? Ce documentaire palpitant en 3D aborde tant les victoires glorieuses que les horribles tragédies qu’a vécues la course de moto la plus folle du monde.

Au cours des années 1950', l'écurie Scuderia Ferrari vit ses premières courses dans le Championat du Monde de Formule 1. Les voitures et les pilotes sont poussés jusqu'à leurs limites pour s'imposer dans le championnat. C'est dans ce contexte extrêmement compétitif que le sport automobile va vivre sa décennie la plus tragique, avec un nombre record d'accidents. Au centre de tout cela, une figure légendaire, Enzo Ferrari, fondateur de l'écurie Italienne, véritable patriarche pour ses pilotes, et pour qui la vitesse était une obsession. Ferrari: Race to Immortality nous raconte les triomphes et les tragédies de l'écurie Ferrari et de ses pilotes qui étaient prêt à mourir pour une belle victoire.

Réalisé par Mark Neale et narré par Ewan McGregor, «Fastest» nous plonge au coeur du Championnat du Monde MotoGP 2010. Une saison qui fut parmi les plus difficiles de la carrière de Valentino Rossi qui s’était lourdement blessé chez lui au Mugello et qui devait surtout affronter de jeunes pilotes très doués. Au point qu’il devait désormais se demander qui serait le plus rapide à chaque départ. “Etre le plus rapide («Fastest») est un feeling incroyable. Etre le plus rapide implique de plus grands risques,” commente le réalisateur Mark Neale. “C’est l’essence du MotoGP et de ce film. L’extase et la terreur au plus haut niveau de la compétition moto.”

Réalisé par le Français, Pierre-William Glenn, le cheval de fer conte la “chevauchée fantastique”, en 1974, des meilleurs pilotes à travers l’Europe dans les 12 Grands Prix constituant le championnat du monde de vitesse motocycliste (Continental Circus).

Charles Leclerc l’a fait. Enfin ! Il lui aura fallu six tentatives et presque autant d’années de malchance avant de pouvoir triompher au Grand Prix de Monaco, chez lui. Né en principauté, celui qui est devenu à 26 ans l’un des meilleurs pilotes du monde, a construit ses premiers souvenirs de Formule 1 dans ces mêmes rues. "Mon 1er souvenir, j’avais 4 ou 5 ans. Je regardais mon premier Grand Prix, installé à la sortie du Virage 1. Je jouais aux petites voitures avec mon meilleur ami en regardant les pilotes qui défilaient sur le circuit, et déjà à l’époque ma préférée était la Ferrari !". Le temps d'un week-end sur ses terres, de l’effervescence des premiers jours jusqu’à la victoire finale en passant par la balade nocturne avec son chien, Canal + l’a suivi pas à pas pour une immersion totale !

Hamilton / Verstappen. Deux pilotes exceptionnels aux caractères opposés. Un titre qui se joue dans le dernier tour du dernier Grand Prix. Si on avait voulu écrire le scénario de la saison F1 2021, on n’aurait pas fait mieux.