Plongez au coeur de Wuhan au tout début de la pandémie de COVID-19. Pékin tente d’imposer une gestion exemplaire de cette crise sanitaire sans précédent, avec un confinement imposé à la population. L’artiste dissident Ai Weiwei affirme une nouvelle fois son regard critique à l'égard de la Chine.

Troisième épisode d'une véritable enquête policière. Il s'agit d'une affaire de meurtre dans laquelle tous les protagonistes jouent leur propre rôle. Dans le rôle de la juge : Anne Gruwez. Dans le rôle du flic : Commissaire Le Moine.

Des caméras suivent le ministre de la Santé en coulisses de la campagne de vaccination.

C’est une membrane de Celluloïd avec, en son centre, un peu de faux sang. Elle coûte 50 euros et peut être commandée par internet. Sur la notice, après le mode d’emploi de cet hymen artificiel, une petite note du fabricant précise : « Nous sommes heureux de pouvoir vous aider à résoudre votre problème. » Le problème ? Une virginité perdue. Mais pourquoi est-ce si important ? Güner Yasemin Balci, la réalisatrice, interroge : « Qui a besoin de ça et dans quelle détresse une femme doit-elle être pour commander une chose pareille ? » Pour répondre à ces questions, Güner, d’origine turque, revient sur son histoire familiale. Son film, très personnel, explore le monde musulman en Allemagne mais aussi en Israël ou en France.

Dans les rues étriquées des Marolles, grouillent des gosses. Leur refuge, leur coin de paradis et d’illusions est un terrain vague encombré de bidons et de buissons rachitiques. Un beau jour arrivent des hommes en chapeau mou et d’autres en salopettes qui examinent les lieux, déploient des papiers… Pour les enfants, ça ne sent pas bon. En effet, le terrain est bientôt barricadé, éventré par des machines, tandis que des maisons alentour sont abattues. Le marteau-pilon fait frissonner tout le quartier et lentement s’élèvent de grands murs de briques. Les gosses, rejetés à la rue, sont atterrés de voir ainsi volée leur part de ciel. Doucement, leur stupeur se transforme en révolte : ils se choisissent un chef, fabriquent des catapultes avec les bretelles de leurs parents et décident de livrer une guerre sans merci aux entrepreneurs et architectes…

Les réalisateurs Katharina Viken et Charles Kriel partent à la recherche des raisons pour lesquelles les espaces féminins en ligne se radicalisent et comment la pandémie nous a tous rendus vulnérables à croire des mensonges réconfortants plutôt que la dure vérité.